
Dernières acquisitions du groupe
En 2024, le fonds d’investissement entrepreneurial lyonnais fait l’acquisition de 4 nouvelles filiales dans l’agroalimentaire. Le 1er juillet, le groupe rachète Renzo, l’Artisan Glacier à Viviers-du-Lac en Savoie. Le 16 septembre, Solexia reprend la Boyauderie des Savoie à Seynod en Haute-Savoie et la Boyauderie Panier à Montagny dans le Rhône. Puis, le 21 octobre c’est la Maison Bayle à La Grand-Croix dans la Loire qui est cédée au groupe lyonnais.
Avec ces quatre nouvelles sociétés, le groupe compte désormais 16 entreprises,
596 salariés et atteint les 160M€ de C.A.
Renzo, l’Artisan Glacier
LES POINTS QUI ONT MOTIVÉ LE RACHAT
« Qualité des produits, proximité du sourcing fruits, savoir-faire et expertise du choix du fruit, recherche constante de nouvelles saveurs, travail artisanal : Renzo et la Maison Bissardon partagent les mêmes valeurs. Le premier enjeu du rachat est tout d’abord de bien intégrer le métier de Renzo en comprenant le fonctionnement de la société et des process. Puis rapidement, les synergies métiers seront évidentes. Renzo bénéficiera de l’expertise de la transformation des fruits frais de Bissardon en purée de fruits sous poches pour la réalisation des glaces et sorbets. Dans un souci de circuit court, Bissardon maîtrise la chaîne, du verger jusqu’à la transformation, grâce notamment à un partenariat étroit avec des arboriculteurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes. C’est ce chainon de traçabilité de A à Z qui viendra compléter le process de Renzo. Nous pouvons imaginer un développement commercial avec des synergies clients en proposant des compléments de gammes sur les glaces ou sur les jus de fruits pour la clientèle de Renzo et la clientèle de Maison Bissardon. Enfin, étant originaire de Savoie, je suis ravi de contribuer au développement de cette entreprise sur un territoire qui m’est cher ! »
Antoine Pichat, directeur de Maison Bissardon et Renzo, l’Artisan Glacier
Boyauderies des Savoie & Panier
LES POINTS QUI ONT MOTIVÉ LE RACHAT
«Le rachat de la boyauderie des Savoie a été une belle opportunité car c’est une entreprise que l’on connait et que l’on apprécie depuis de nombreuses années. En effet, je travaille avec la boyauderie depuis mon rachat des Salaisons du Val d’Allier en 2003. On travaille aussi avec ce fournisseur de boyaux chez Chillet depuis le début. Ce rachat n’a pas pour objectif de servir les salaisons du groupe en boyaux mais nous voyons bien en ce rachat une belle entreprise réputée et connue de longue date.
Le premier investissement a été la mise place d’un outil informatique (SAP) car il est fondamental pour une boyauderie d’avoir un ERP qui englobe la gestion des stocks.
Enfin, c’est une entreprise passionnante avec un terrain de jeu mondial et un métier d’une grande complexité, de niche, et ça, ça nous plait ! » Hervé Kratiroff, président de Solexia
Maison Bayle
LES POINTS QUI ONT MOTIVÉ LE RACHAT
« Ce rachat s’inscrit dans notre culture d’acquisition : un groupe familial avec lequel nous partageons les mêmes valeurs. La Maison Bayle est une entreprise familiale, ancrée dans un territoire local, avec des équipes fidèles et dotées d’un réel savoir-faire reconnu dans le monde de la boucherie-charcuterie. Nous partageons aussi la culture de l’apprentissage, très présente dans l’entreprise. En 50 ans, ce sont plus de 300 apprentis qui sont passés par la Maison Bayle ! De plus, c’est la première entité à l’échelle du Groupe en BtoC et qui nous offre donc un contact direct avec les consommateurs pour appréhender au plus vite et au quotidien les évolutions de marché. Enfin notre objectif premier est de s’inscrire dans la continuité de la famille Bayle. Et donc le nom, le fonctionnement, les équipes, l’offre et la qualité de service, tout ce qui fait la force de la Maison Bayle depuis tant d’années restera inchangé. Aux côtés des équipes en place, nous sommes prêts à relever le défi d’offrir la même excellence à la clientèle. Notre priorité est de garantir que la boucherie demeure fidèle à son identité et à ses valeurs pour les nombreuses années à venir ! » Eric Versini, directeur général de Solexia